Coïtée Par Le Mari Et LAmant - Dévergondages 07
COÏTÉE PAR LE MARI ET LAMANT - Dévergondages 07
Lors dun récent déplacement, un Français nommé Michel B., est venu en voyage daffaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il ma confié les fantasmes quil a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il la connu avec une maîtresse durant une dizaine dannées. Pour cela, il ma demandé dimaginer des récits pouvant lamener à se pervertir.
« Heureux qui peut, au lever de l'aurore, à la clarté de ses premiers rayons, contempler les beautés d'une épouse qui a de la pudeur à les montrer et que l'amour seul rend libertine (citations de Claude Adrien Helvétius)
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile sest laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime dun chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Puis, allant chercher sa fille à laéroport avec son mari, lorsquils dinent dans un restaurant, elle aperçoit Edmond qui dine seul à une table voisine. Il lui envoie un sms comminatoire. Elle le rejoint, malgré elle, dans les toilettes du restaurant, et se fait trousser et baiser en levrette dune façon des plus triviales. En la quittant, Edmond lui remet une enveloppe quelle enfouit dans son sac.
Lorsquavec son mari et sa fille ils rentrent dans leur pavillon, elle se précipite sous la douche et lave avec force son corps, souillé par le notaire qui sest comporté ce soir comme un goujat.
Alors quelle dort du sommeil du « juste », rêvant au plaisir quelle a éprouvé dans les bras du vieux notaire, qui avec une adresse incroyable, lui a fait connaître une jouissance encore inconnue pour elle jusquà ce jour, elle ressent des caresses sur ses fesses, lorsque le tissu de la chemise de nuit est relevé. Elle nose bouger, ne sachant si cest Edmond, car il en est bien capable le bougre, ou alors son mari, ayant lintention de faire son devoir conjugal hebdomadaire. Pourtant ce nest pas son jour, vu que nous sommes un jeudi. Habituellement, cest uniquement le samedi soir, et encore, depuis deux ans, ce nest devenu quune semaine sur deux. Odile, tétanisée, nose pas faire un geste, ni dire un mot. Les caresses deviennent plus précises, écartant les globes charnus de ses fesses, des doigts sinfiltrent jusquau gros abricot de ses lèvres, encore gonflées par le traitement intensif de la journée de mercredi, et de la nuit qui a suivi et même de ce matin. Elle sent la mouille couler de son vagin, alors quhabituellement elle est très sèche. Soudain un baiser dans le cou et la voix de son mari qui lui susurre :
- Eh ! Bien ma chérie, je te trouve bien trempée, cest bien la première fois que ma petite femme laisse sécouler du jus de sa fente.
Odile reste coite. Cest la première fois que son mari parle de sexe, surtout aussi trivialement ; ils ont toujours fait lamour dans le noir sans se parler, sans se toucher. Juste une pénétration rapide sans préliminaires. Alors quelle sent les doigts qui explorent sa grotte intime, lui faisant ressurgir les sensations éprouvées sous les doigts diaboliques dEdmond, elle ne peut sempêcher de gémir quand la main effleure son clitoris, alors quune odeur caractéristique de stupre envahit leur lit.
Heureusement, Michel ne tient pas la cadence et il éjacule très vite, évitant ainsi à Odile de laisser ses sens déborder, en ne pouvant éviter de hurler son bonheur de la queue qui vient de lui labourer sa matrice. Elle se lève rapidement et va senfermer dans la salle de bains, où enfoncée dans un bain bouillant, elle se masturbe furieusement pour aller au bout de la jouissance quelle na pu éprouver, par lacte trop bref quelle vient de subir.
Par bonheur, son mari ne la pas rejoint, et lorsque, au bout dune bonne heure, après avoir échangé sa chemise de nuit pour un pyjama en coton, elle retourne dans le lit conjugal sur la pointe des pieds, Michel dort à poing fermé, certainement épuisé par cet écart à sa conduite habituelle.
Odile, malgré lacte quelle subissait précédemment avec soulagement, car très bref, néprouvant aucun plaisir à lacte conjugal quelle se devait à son époux, est heureuse tout de même davoir eu, pour cette fois, une brève jouissance à la pénétration du sexe marital. Mais elle est angoissée, à lidée davoir des explications à donner à son mari, pour lonctuosité de ses parties intimes, quil lui était impossible de lui dissimuler. Elle est inquiète, quil puisse croire quelle a une aventure adultère, alors quelle se défend de son innocence. Elle na cédé, pense-t-elle que parce quelle est victime dun odieux chantage et quelle ne peut se refuser à celui qui la sauvé, en loccurrence, Edmond, le notaire.
Odile a beaucoup de mal à sendormir, ressassant sans cesse ce quelle a vécu ses derniers jours ; elle sent dans son ventre des sensations bizarres et ses doigts, vont tout naturellement sur son pubis, en se glissant sous la culotte du pyjama.
Lorsquelle se réveille, appréhendant lentrevue avec son mari, celui-ci apparaît à la porte de la chambre avec un plateau comportant son petit déjeuner. Il embrasse amoureusement son épouse, lui caressant même les seins à travers sa veste de pyjama. Odile nose regarder son époux, sentant ses joues sempourprer à la pensée quelle va certainement bafouiller lorsque son mari va lui parler de cette nuit. Pourtant, Michel névoque que le week-end qui approche et, la randonnée à vélo quils avaient prévue il y a peu. Aucune allusion à la moiteur de sa vulve et même à la cyprine qui avait envahi son vagin lorsque les doigts maritaux lavaient pénétré profondément.
LorsquOdile se retrouve seule, un soupir de soulagement séchappe de sa poitrine. Elle ne cherche pas à comprendre le pourquoi du comment, bien heureuse de ne pas être confrontée à un nouveau problème. Cela lui fait penser quelle nen na pas fini avec Edmond, puisquhier soir, il lui a laissé une petite enveloppe, quelle se décide enfin à ouvrir. Un peu tremblante, elle déchire le pli et retire une carte de visite vierge sur laquelle elle peut lire ce qui suit :
- Ma chère, je désire vous voir demain à 10 heures, chez moi, revêtue du tailleur que je vous ai offert , des escarpins tabac qui vont avec, des bas Dim-up et surtout comme je vous lai recommandé, pas de dessous, ni soutien-gorge, ni culotte !
Odile défaille, se peut-il que son suborneur, veuille toujours, comme il lui a dit, quelle se déplace en public, sans au moins avoir un mini shorty, comme elle en met habituellement.
Il est déjà huit heures et demi, et elle na pas de temps à perdre. Elle se prépare tout de même soigneusement dans la salle de bains, puis elle revêt le très joli tailleur en lin écru, à la jupe droite et aux doubles coutures surpiquées quEdmond lui a offert. Lorsquelle ajuste ses bas autofixants, elle ne peut sempêcher de paniquer à nouveau à lidée de sortir sans culotte. Enfin elle sort de sa maison et monte dans sa voiture. Lair un peu frais qui sest glissé sous sa jupe, a caressé sa vulve et le rouge lui est monté aux joues.
Lorsque quelle arrive sur le Cours Victor Hugo, elle passe rapidement devant la société où elle travaille, dont elle est en congé aujourdhui. Plusieurs centaines de mètres plus loin, elle sengage dans le parking de limmeuble où demeure Edmond, bien aise, de la discrétion qui évite de voir sa Clio garée devant chez lui. Le vieux notaire, qui lattend de pied ferme, ne perd pas de temps et lentraine dans les rues avoisinantes qui regorgent de commerces en tous genres, notamment dans la rue du Mirail, où, poussant la porte dune boutique au fronton orné dun « CHARNEL » accrocheur, il se retrouve avec Odile dans un lieu où les mannequins présentent une affriolante panoplie de vêtements et sous-vêtements les plus érotiques qui soient.
Odile, de plus en plus mal à laise, doit se mettre nue devant Edmond et une des vendeuses, se prêtant aux essayages de nuisettes et déshabillés en voile et dentelle, de babydolls, de mini corsets et autres bodys et bustiers aux seins nus, en soie et satin, ornementés de dentelles et la faisant ressembler à une hétaïre ou courtisane du XIXe siècle ; puis il choisit des bas de toutes les couleurs ainsi que des porte-jarretelles, dont les tons sont assortis aux bas. Ensuite ce sont des robes presque transparentes, des jupes et des corsages qui découvrent ses cuisses et sa poitrine quelle doit essayer, se demandant comment elle pourrait emporter tout cela dans sa maison, sans que son mari ou sa fille ne puissent les remarquer. Elle nose poser de questions, surtout quand elle voit sur la caisse enregistreuse un chiffre approchant les huit mille euros !
Edmond la prenant par le bras, lemmène dans une maroquinerie, où il lui fait choisir des sacs et des gants assortis aux toilettes quil vient dacheter. Ensuite, chez un chausseur bien connu, elle essaie différentes paires descarpins et autres sandales, et là encore, la somme dépensée est astronomique. Pour terminer, chez un bagagiste, deux grands sacs de voyages sont expédiés à ladresse du notaire, comme le reste des achats. Le couple se dirige ensuite vers une grande brasserie qui se trouve à proximité pour déjeuner.
En prenant place à une table, Edmond sarrange pour que sa convive soit face à la salle. Après avoir choisi dans le menu, plats et bons vins, Edmond explique à Odile quil est propriétaire dun immeuble près du Jardin Botanique, sur une place très discrète, et quil vient de refaire faire un appartement quil lui destine pour entreposer la lingerie et les robes quelle ne pourrait pense-t-il pas entreposer chez elle.
Odile est soulagée pour les vêtements, mais elle est angoissée aussi par cet appartement, où, elle la bien compris, Edmond pourra, honteusement pour elle, profiter de son corps tout à son bon vouloir. La pauvre femme sait quil ny a plus moyen de lui échapper et quelle est condamnée à tromper son mari indéfiniment. Cest à ce moment quEdmond lui demande une chose complètement incongrue :
- Odile, il y a en face de vous deux messieurs qui vous fixent depuis le début du repas les connaissez-vous ?
Elle saffole, pensant que ce sont des connaissances et quils risquent dêtre étonnés de la voir en galante compagnie. Mais, jetant un regard en coin, elle ne reconnaît personne. Elle fait un signe négatif à Edmond, qui lui lance alors :
- Ma chère, voulez-vous remonter votre jupe à mi-cuisses sil vous plaît.
Odile se statufie, se pourrait-il que son suborneur lui demande encore de sexhiber, comme il lui a demandé mercredi dernier dans ce restaurant de Saint-Macaire ? Sous lemprise du vieil homme, elle sexécute, remontant sa jupe mais gardant les genoux serrés. Celui-ci, lui souffle distinctement, avec une certaine sécheresse :
- Ouvres tes genoux salope, et fais nous voir tes cuisses et ta chatte !
Devant lordre péremptoire et insultant de son amant, Odile a un sursaut de révolte, mais, fermant les yeux, elle ouvre le compas de ses cuisses, offrant ainsi aux deux messieurs et à son amant, le spectacle bien agréable de son intimité la plus totale. Elle sent son cur qui bat à rompre, se sentant ainsi exposée à toutes les personnes qui pourraient se présenter dans cet endroit du restaurant. Dailleurs, ouvrant à demi les yeux, elle voit un serveur qui nen perd pas une miette, se régalant de la vulve quil voit distinctement. Un des messieurs a même laudace de prendre une ou deux photos avec son téléphone portable. Odile sent les larmes monter à ses yeux, se retenant de ne pas éclater en sanglots.
Edmond a enfin pitié delle et il lui fait signe de la main de se rajuster. La femme mature soupire de soulagement, surprise tout de même, quencore une fois, elle sente son ventre bouillonner et son entrejambe shumidifier. Si Edmond le voulait, elle se sentirait prête à se faire enfiler par le premier homme qui voudrait delle. Mais que lui arrive-t-il, se pourrait-il quelle mérite, le nom de « salope » que lui a jeté le notaire, il y a quelques instants ?
Enfin, après avoir réglé la note, Edmond prend Odile par le bras et ils reviennent à son domicile. Alors quelle se recoiffe et se remaquille dans la salle de bains, Edmond entre sans frapper et lui ordonne :
- À genoux, sort ma queue et pompe-moi bien !
Odile, ne proteste même plus, elle sagenouille, dégrafe la braguette du vieil homme et en sort la verge dune bonne taille, quelle prend en bouche, se rappelant quelle a déjà dû, par deux fois prendre le sexe dEdmond dans sa bouche, et même, avaler le sperme pour la première fois de sa vie. Elle prend presque plaisir à sucer le pénis qui vibre et tressaute sous ses lèvres et sa langue, heureuse de sentir le pouvoir quelle a sur cet homme autoritaire en lui faisant une fellation qui le rend tributaire de la bouche féminine.
Lorsque, les joues de lhomme et sa queue, congestionnées par lexcitation sont à leurs paroxysme, dans un cri rauque, Edmond déverse son foutre au fond de la gorge de cette bourgeoise qui se laisse malmener et dépraver sans aucune pudeur à présent, mais tout de même envahie de dégoût pour elle-même et remplie de remords et dhumiliation
A suivre
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